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| La réunion du comité ministériel conjoint de surveillance de l’OPEP |
| L’OPEP et l’OPEP+ maintiendront-ils la stabilité de leurs prix ? |
Les prix du pétrole sont encore très incertains. Les pays membres de l’OPEP ont essayé de faire front uni pour lutter contre les variations de prix extrêmes en maintenant des limites de production, en coopération avec les pays producteurs de pétrole ne faisant pas partie de l’Organisation.
Toutefois, les sanctions imposées par les Etats-Unis sur le Venezuela et l’Iran ont temporairement fait augmenter les prix du Brut WTI jusqu’à 60 $ par baril.
However, oversupply concerns, Middle-East tensions, and downgraded future demand for the black gold weigh on prices to the downside. Something, the US President Trump has been pressing on. Since the 175th meeting, held in December 2018, This would be the most anticipated meeting after the scheduled April meeting was adjourned.
Néanmoins, les inquiétudes concernant une éventuelle surproduction, les tensions au Moyen-Orient et la demande future d’or noir en baisse impactent négativement les prix. Ce que voulait le président Trump depuis la 175e réunion organisée en décembre 2018. La réunion à venir est donc la plus attendue après le report de celle prévue en avril. |
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| Les personnes tradant et investissant dans le pétrole cherchent à y voir plus clair en ce qui concerne les futures tendances pétrolières. Mais cela s’avère difficile, les conditions géopolitiques semblant s’embourber toujours plus, notamment en raison des sanctions imposées à l’Iran qui sont entrées en vigueur le 5 novembre 2018 et les USA augmentant leurs productions de gaz de schiste et les forages. La production quotidienne américaine a atteint un pic, avec 11,6 millions de barils par jour. |
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La production mondiale a atteint 92,6 millions de barils par jour. Toutefois, en raison des contractions de la production industrielle, notamment en Chine à cause des tensions commerciales, l’OPEP et les autres organisations essaient d’adhérer à des pratiques permettant de limiter les prix tout en restant profitables pour tout le monde.
L’axe initial était de réduire la production afin d’empêcher les stocks de dépasser la demande. Mais il reste encore à voir si les 15 membres de l’OPEP, qui contrôlent à peu près 40 % du pétrole mondial, et leurs partenaires producteurs non-membres, comme la Russie, peuvent atteindre un compromis raisonnable. |
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